LE MODÈLE LOW
COST
L’émergence du modèle de compagnie low-cost (LCC) s’est avérée très rentable et couronnée de succès dans le monde entier au cours des deux dernières décennies. Ce modèle continue de prendre de l’ampleur à l’échelle mondiale, laissant l’Afrique comme restant le seul continent à ne pas offrir une véritable offre de transports aériens à bas prix.
L'ENVIRONNEMENT DUOPOLAIRE DES COMPAGNIES AÉRIENNES DE L'AFRIQUE DE L'OUEST A CRÉÉ UN MANQUE DE CONCURRENCE, INCITANT LES TRANSPORTEURS EXISTANTS À OFFRIR DES PRIX DE BILLETS PEU COMPÉTITIFS AUX CONSOMMATEURS.
Le business model a été développé dans le cadre du Tony Elumelu Entrepreneurship Program (TEEP) et présenté à la Rothschild’s Bank (Londres). Les stratégies et les plans ont été examinés par des experts de l’Aviation Africaine, Moyen-Orientale et Européenne.
Nous sommes au lancement du marché ouest-africain du transport de passagers. La région est prête pour le produit Westaf. Des techniques innovantes et éprouvées de gestion des performances et des équipes dans le concept Westaf du «tout connecté» seront le soutien de son bon fonctionnement et de sa flexibilité, clés de la gestion du changement dans le modèle low-cost.
Le transport aérien de passagers en Afrique prévoit une croissance pour les 20 prochaines années à un taux de 5,7 % par an (Air Transport Action Group – Rapport ATAG). Même si des études récentes soulignent le ralentissement de la croissance en Afrique, le secteur de l’aviation est en développement constant, ayant pris beaucoup de retard. Il fait partie de l’infrastructure nécessaire pour stimuler la croissance économique.
Le continent africain ne représente que 2,85 % du total mondial de passagers transportés, alors qu’il est le deuxième plus grand et le deuxième continent le plus peuplé.
Le modèle commercial de Westaf fournit des services dégroupés et maximise la demande et les revenus en utilisant la gestion du rendement pour fixer les prix de base. Il met fortement l’accent sur le contrôle des coûts en respectant les éléments suivants :
- Standardisation de la taille des avions et des options de sièges,
- Utilisation d’un pas de siège réduit, si nécessaire,
- Utilisation prioritaire des zones de chalandise non desservies ou sous-desservies et les aéroports secondaires,
- Plafonnement du nombre d’employés à temps plein bien en deçà de celui des transporteurs principaux,
- Dégroupement de tous les articles ; déploiement de stratégies pour maximiser les revenus auxiliaires en vendant des services supplémentaires tels que la nourriture et les bagages en vol.
Westaf dans la Presse
LIAISONS PRÉVUES
Chiffres clés de l’aviation commerciale en Afrique :
. 50% de la population africaine vit dans les 10 pays les plus riches du continent, selon un rapport de 2016 d’Oxford Economics.
. 80% du trafic africain est concentré sur 50 aéroports, selon l’IATA.
. 98% des 50 aéroports les plus fréquentés d’Afrique se trouvent à moins de 3000 miles nautiques les uns des autres.
. 45 % des liaisons moyen-courrier sont opérées moins de quatre fois par semaine.
Bien que 15% de la population mondiale réside sur le continent africain, seuls 3% de tous les sièges de toutes compagnies aériennes régulières confondues en partent, selon un rapport de l’OAG.
Source: IATA Paris 2016
ANALYSE DU MARCHÉ
Les statistiques de l’IATA corroborent les chiffres des constructeurs aéronautiques (Boeing, Airbus, Bombardier, Embraer) sur la croissance du trafic passagers à Dakar et Abidjan et le choix adéquat des avions :
En termes de capacité en sièges : 80% des vols entre les destinations africaines ont moins de 110 passagers.
Le taux d’occupation actuel des vols sur le continent africain, environ 60%, est parmi les plus bas au monde, ce qui montre qu’il est essentiel d’utiliser le bon équipement avec une stratégie flexible basée sur la performance pour adapter la compagnie aérienne en fonction des exigences.
Il n’existe actuellement aucun moyen rentable et flexible de voyager entre les principales destinations d’Afrique de l’Ouest.
Les raisons en sont notamment :
- Les compagnies aériennes actuelles ont été mal gérées et ont adopté des stratégies et des équipements médiocres.
- Le choix de l’avion (frais généraux colossaux, mauvais support de maintenance).
- Faible flexibilité (un vol par jour en raison du type d’avion).
- Prix (tarif aller simple), cher en raison de frais généraux élevés (50 employés en moyenne par avion).
- Le choix du hub pour les compagnies aériennes actuelles ne prend pas en charge les créneaux horaires flexibles.
INVESTISSEURS
Le transport aérien commercial est une activité qui nécessite une expertise technique, financière et de gestion des risques. Grâce à notre expérience et nos connaissances, nous disposons du meilleur modèle économique pour faire face au changement dans le transport aérien commercial.
En plus d’apporter de la valeur à nos clients, WestAF est également fière de la valeur croissante que nous apportons à nos actionnaires. Les détails financiers, stratégiques et de développement sont disponibles, y compris des projections sur 10 ans.
Nous invitons les investisseurs à se joindre à nous dans cette aventure unique pour construire le nouveau modèle économique du transport aérien low cost en Afrique de l’Ouest.